Musée des cœurs brisés à Paris Quand la rupture se transforme en œuvre d’art
Le Musée des cœurs brisés se propose de faire l’inventaire des reliques dont se pare la déception sentimentale. Après une collecte automnale, cet espace éphémère ouvrira ses portes pour la première fois en France, en association avec le Musée des cœurs brisés de Zagreb, jusqu’au 20 janvier au Centquatre, le centre culturel de la ville de Paris.
C’est l’histoire d’une rupture qui se transforme en œuvre d’art. Il était une fois… Olinka Viπtica et Draæen GrubiπiÊ, un couple de jeunes artistes croates. Trois ans et un divorce plus tard, leur vient une idée, pourquoi ne pas créer un musée où chacun pourrait déposer un objet, une relique qui témoignerait d’une histoire d’amour défunte-passée ?
Voici donc le Musée des cœurs brisés : des colonnes blanches qui présentent au visiteur des souvenirs allant du plus classique -robe de mariée bustier ou alliance- au plus loufoque : ticket de métro, canard en plastique voire même un frisbee, qu’une jeune femme a offert au musée accompagnée d’un texte vengeur. Il faut dire que l’objet était le seul cadeau offert par son compagnon lors de leur deuxième anniversaire de mariage.
Souvent colorées par les cultures locales, les œuvres forment aussi des motifs universels. Le désespoir, la colère, mais aussi l’humour et l’ironie y trouvent leur place. Le spectateur y trouvera-t-il du réconfort ? Sans doute autant que les concepteurs de l’exposition, qui avouent avoir trouvé l’expérience assez thérapeutique.
Le Musée des cœurs brisés se propose de faire l’inventaire des reliques dont se pare la déception sentimentale. Après une collecte automnale, cet espace éphémère ouvrira ses portes pour la première fois en France, en association avec le Musée des cœurs brisés de Zagreb, jusqu’au 20 janvier au Centquatre, le centre culturel de la ville de Paris.
C’est l’histoire d’une rupture qui se transforme en œuvre d’art. Il était une fois… Olinka Viπtica et Draæen GrubiπiÊ, un couple de jeunes artistes croates. Trois ans et un divorce plus tard, leur vient une idée, pourquoi ne pas créer un musée où chacun pourrait déposer un objet, une relique qui témoignerait d’une histoire d’amour défunte-passée ?
Voici donc le Musée des cœurs brisés : des colonnes blanches qui présentent au visiteur des souvenirs allant du plus classique -robe de mariée bustier ou alliance- au plus loufoque : ticket de métro, canard en plastique voire même un frisbee, qu’une jeune femme a offert au musée accompagnée d’un texte vengeur. Il faut dire que l’objet était le seul cadeau offert par son compagnon lors de leur deuxième anniversaire de mariage.
Souvent colorées par les cultures locales, les œuvres forment aussi des motifs universels. Le désespoir, la colère, mais aussi l’humour et l’ironie y trouvent leur place. Le spectateur y trouvera-t-il du réconfort ? Sans doute autant que les concepteurs de l’exposition, qui avouent avoir trouvé l’expérience assez thérapeutique.
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