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Etape 1
1 : Se présenter
2 : Démarrer un réseau
Etape 2
3 : Coopération multi-facettes
4 : Analyser ses réseaux
5 : Former à la collaboration
6 : Gérer l’information
7: Licences libres
Etape 3
8 : Quels outils pour quoi faire ?
9 : Gestion collaborative de projet
10 : Formation des formateurs
11 : Réseaux et territoires
12 : Freins et facilitateurs
Etape 4
13 : Écrire pour le Web
14 : Etre formateur 2.0
15 : Modules à la carte
Etape 5
16 : Consolider le réseau
Les suites
La veille collective
Les productions
Les formations
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======Regroupement de Jaurieu des 2, 3, 4, 5 mai 2012====== =====Notes du 2 mai après-midi===== Tour de table de réflexions sur l'après Cal Duc. Difficultés suite aux vacances et aux week-ends rallongés. - Carnet d'itinérance : à préciser : demande sur grille d'analyse, savoir ce qu'il faut y noter. : réflexions personnelles ou guide de réflexion? C'est le cheminement en tant que formateur, on est libre de l'organiser comme on veut; c'est un outil d'analyse. Vient des technique des recherche-action : on note ce qu'on ressent (en garder mémoire), puis deuxième niveau par exemple sur réflexion sur les doutes, les moments de remotivation; 3ème écriture : aller chercher autres élèments pour alimenter la réflexion (analyser son vécu). Carto en cours sur OpenStreetMap pour le domaine de Jaurieu avec @ljbouere : http://bit.ly/ITrxbG http://www.openstreetmap.org/?lat=50.703362&lon=3.489737&zoom=18&layers=M =====Quels outils pour quels usages ?===== Objectif : définir des critères qui font qu'un outil de travail collaboratif fonctionne avec un groupe. 1 - un temps de réflexion individuelle, identifier situations vécues où on a voulu mettre en place un outil et ça a pas trop fonctionné. Et pourquoi. (on aurait pu penser à des outils d'animation, non informatique). 2 - mise en commun 3 - 3 groupes et réfléchir à des critères à mettre en oeuvre pour mettre en place des outils, 1/2h Choisir un outil pour bien collaborer. pas de liste préétabile à vous d'en proposer Pas d'outils particulier pour noter vos critères **Situations problèmes :** - idée de faire émerger une communauté à travers l'adhésion: l'éducation à l'environnement (ErE) en 10 idées phares; en 6 mois 718 personnes se sont inscrites (objectif fixé à 5000 !). Pas de forum possible - google doc : groupe de travail, avec 15 personnes, mettre en place un google doc pour y noter et écrire le projet ensemble, mais n'a pas du tout marché - la base de données des essais bio.... Volonté de faire un outil simple et ludique, appel à un développeur. - google docs 2: partage de tableaux Exemple de situation problème : outil Google doc. J'ai voulu dans le cadre d'un groupe créer un google doc pour y noter le sommaire d'une lettre interne, de faire un tableau où chacun y noterait ces articles. J'ai envoyé l'adresse du lien. La personne responsable m'a répondu qu'il y avait 6700 personnes qui s'étaient connectés, et elle a refusé d'utiliser l'outil. Donc, chacun a écrit sur un tableau, puis lui a renvoyé et elle a fait des copier-coller. Peur de l'extérieur (dans un cadre institutionnel), méconnaissance totale de l'outil. - dans cadre du forum Innov Africa : organiser à distance, pbs de connexion, grésillement, pb pour communiquer à distance. On est passé en réunion en chat, avec compte rendu. - flash meeting: difficulté si on veut faire autre chose que se parler (un écran + etherpad), pas simple - meetings.io : ça semble simple mais on y est pas arrivé - dans formation de guide nature: mise en place d'une banque de données sur laquelle les opérateurs pouvaient aller chercher des ??? Pas à l'aise avec l'outil et ils ne se sont pas inscrits.- - un google groupe : pour déblayer un projet recherche sur un référentiel en agriculture biologique (avec l'idée de faire une conférence de consensus) Il fallait s'inscrire, on l'a fait sauter. Peu de participants - Pb dans la visio : travail à distance et différents types de matériel, mauvais équipement ou machines qui marchent pas: perte de temps, casse la dynamique. Pas toujours simple de trouver l'outil qui fonctionne bien, et libre. Certains ne veulent pas des outils, par exemple Google. Situation de blocage. - disfonctionnement de l'outil forum dans la formation à distance. - moodle : dificulté à répondre à certaines questions, c'est un problème de niveau; comment le travailler à distance? - sur un wiki, des gens qui sont peu habitués à la mise en ligne; difficulté d'absence de serveur, mot de passe, environnement austère et inhabituel (par rapport à word, duquel google doc est plus proche), inscription. - outil google doc pas testé en direct, ça n'a pas marché. Les causes de loupés ! - design desuet : pas d'adhésion - idées abstraites loin des gens - pas d'interaction possible entre les gens - titre du site compliqué - devoir avoir un compte Gmail - être à l'aise avec Google Document et l'outil informatique - devoir rentrer les même infos dans plusieurs outils différents - base de volontariat pour participer, or les participants n'ont pas toujours le temps - design et ergonomie ne correspondant au public (groupe de test trop petit ou non représentatif) - pb de temps pour les utilisateurs pour rentrer leurs fiches - trop d'outils similaires... du coup il faut encoder ses fiches dans 3 endroits différents... trop du coup pas utiliser - méconnaissance de l'outil (attribution des numéros sur google docs) - manque d'accompagnement sur l'outil et ses enjeux - pas de volonté de partage, - volonté de protection des données, enjeux institutionnels - problème de connexion : bande passante - adaptation de l'outil à l'usage réel (ex. flashmeeting : difficle de parler et de prendre des notes ne même temps) - lancer un outil sans le tester avant (dans des conditions les + similaires possibles) : cela ne marche pas quand on l'utilise - pas à l'aise avec l'outil informatique - diffusion de l'info - création d'un yahoo groups : il fallait un compte et du coup pas simple + juste 7 personnes impliquées vraiment - problème de la diversité des ordis et des systèmes d'exploitation (windows, mac... linux) vieux...récents...::: - les problèmes techniques cassent la dynamique car - gens qui ont de fortes convictions éthiques sur les outils à utiliser. .. (refus des outils "google", logiciels propriétaires) par exemple même s'ils fonctionnent mieux) - appropriation de l'outil - manque d'animation des forums - demander aux gens de commenter et non de produire sur un sujet de société ne correspond pas aux attentes - différents niveaux de maitrise de l'outil informatique dans le groupe - pas de plateforme de wiki libre, sans mot de passe - austérité de l'environnement - devoir se connecter à un compte - ergonomie qui ne ressemble pas à ce que l'on connait d'habitude - pas de tests ensemble, avec le groupe de l'outil Sortir une liste de critères de choix pour choisir le bon outil **Groupe 1** facile à mettre en oeuvre: pas de mot de passe (à moduler) un outil que l'animateur connaissse accessibilité : langue, « plaisir d'y être » (environnement graphique et familier) adéquation de l'outil et du groupe ouverture : compte, mot de passe, la complétude : d'un niveau bas à élevé, évolutif, perennité de l'outil éthique : logiciel libre ou non prise en compte du groupe Evaluer les connaissances sur la pratique des outils des gens Etat des lieux sur les outils déjà utilisés. Une surabondance d'outil nuit aux outils Un outil dans la langue du groupe (si possible) Avoir une représentation commune **Groupe 2 - Prise de notes du groupe Roger / Olga / Gervais / Claire / Sylvain /Jérome / Jean-Marie / Michel B** Critères, conditions Connaissance et maitrise des outils Simplicité et rapidité d'accès (pas de mot de passe, accès en 1 clic Clarté Capacité des utilisateurs Esthétique et ergonomie Efficience : efficace pour le but recherché Connaitre les attentes du groupe => comment s'assurer de l'adéquation de l'outil par rapport aux besoins / attentes du groupe ? moyens techniques d'accès des utilisateurs Taille du groupe (masse critique pour avoir un "taux de retour" suffisant) Nécessité de la médiation , de l'animation (relances) ou pas Payant ou pas Ethique partagée ou pas (propriété des données, hébergement local ou non) Perennité des outils : communauté suffisante pour le maintien de l'outil fiabilité rusticité **Groupe 3 - Louis-Julien / Sylvain /Jordi bis / Nicolas D./ Carlos / Marie** Carré sémiotique techno : moyens / usage: utilité / ergonomie : facilité, simplicité / animation: être capable d'expliquer en une phrase, finalités Dans quel ordre? Agencement des critères. Voir freeplane de Laurent : Hiérarchisation : le discuter avec le groupe, faire émerger les critères, dimension pédagogique intéressante. =====Outils / usages===== - Ouvrage d'Illich - La convivialité L'outil doit être juste (efficience : faire gagner un peu plus de temps, ex : etherpad; le marteau-pilon pour écraser une mouche est efficace, la tapette à mouche est éfficiente); ni esclaves ni maîtres; élargit le rayon d'action personnel (on voit où on va utiliser l'outil, l'oeil pétiller et l'oreille se dresser, avoir prise sur l'outil et en découvrir des nouveaux) - convivial : autonome et créatif - Outils pour quels processus? - Outils pour quels groupes? individu - collège - collectif - réseau - environnement - - Outils pour quels usages : usage minimum souhaité; quel est le niveau le plus bas (en fonction des différentes étapes, choix d'un outil ou d'un autre) - (Partager des ressources peut permettre de tester la volonté du groupe à partager, jusqu'où ils veulent aller; la volonté de coopérer doit être posée au groupe à un moment donné : oui ou non) Tutoriels d'Outils-réseaux et Supagro florac http://outils-reseaux.org/ContenuSFormation Toutes les fiches outils détaillées : http://outils-reseaux.org/ContenuSFormation On peut prendre les ressources, les modifier, mais aussi les fabriquer. ======Notes du 3 mai====== =====matin===== - Tour de table : secouage de cocotier et piste de mise en oeuvre ====- Comment organiser sa veille?==== Rappel sur les flux RSS : voir prezi d'hélène Attention à respecter les droits de la propriété intellectuelle Zinepal pour transformer les veilles de flux RSS en pdf : http://www.zinepal.com/ yahoopipe : http://pipes.yahoo.com/pipes/ En rajoutant slide show, on peut transformer la page wiki en diaporama. La veille = se tenir au courant de l'actualité dans son domaine, processus itératif et continu; contenu et phases. La masse d'information s'est multipliée, abondance; cheminement, organisation sur les différents types de veille. Définir les thématiques (bien qu'on y reviendra); trouver les bonnes sources (en réévaluation continuelle). Le plus dur est de commencer; évaluer ses sources dans le monde en dur / web 2.0 (une partie des repères ont disparus). Sources primaires et sources secondaires (l-humain revient au centre, veille en partie basée sur la confiance). Trouver l'outil qui permettent de retrouver au même endroit toutes les sources. Nécessité de consacrer du temps au début pour mettre en place sa veille. Trier ce qu'on diffuse. Capitaliser en changeant de posture, nécessité de trier (mettre de côté à un endroit où on va le retrouver, en l'indexant); collecter au même endroit; ex. "méthode Briant"= travailler de manière indexée : 7 centres d'intérêt décomposée en 7 sous-thèmes, dans lesquels 7 fichiers textes = 300 éléments de stockage d'info, tables d'index à 3 niveaux 7 le nombre d'or ? __Atelier __ - Twitter avec Sylvain - Yahoopipes avec Laurent - IGoogle et netvibes avec Christian ===== Aprés-midi===== Outil présenté par gatien, pas de compte : http://todaysmeet.com/Coop-tic permettre à l'orateur de voir, qu'il soit préparer à ça, permet d'adapter le discours pour l'orateur; idée de récolter l'info de la salle. On attend retour d'usage de Michel, à la fin. ====[[http://wiki.a-brest.net/index.php/Territoires_et_coop%C3%A9rations Coopération et territoire]], retour sur des pratiques collaboratives; expérience sur 12 ans, par Michel Briand ==== Villes qui se déclarent "ville internet". Faire avec, être en attention, donner à voir, outiller, relier, mettre en commun, pour coopérer et innover **Faire avec** les 105 papis (point d'accès public à internet) brestois (5 à 10 nouveaux chaque année) début en 1997. lieux publics qui peuvent devenir des lieux de découverte du web. Démarche du "faire avec", une personne dans chaque structure prend en charge l'accompagnement; c'est rentré dans l'activité ordinaire. 105 points d'accès public en ville. La collectivité prend en charge l'équipement. Internet pour tous, mis dans 2 quartiers, à 1 euro/mois. Ce qui freine et ce qui favorise l'accès public à internet? un pb de budget - pb d'animation, de culture, de connaissance (/on met du débit, du matos et y'a rien derrière). Le dynamisme repose beaucoup sur les animateurs. Freins et facilitateurs Réutilisation? exemple de [[http://www.creatif-public.net/ Créatif ]] [[http://assmednum.corse.fr/ Assises de la médiation numérique]] Equipement en salle de visio conférence. ** Etre en attention ** Donner la possibilité aux gens qui en ont envie de le faire. Soutien de 32 sur 35 projets par an dans un appel à projet annuel Les premiers appels à projets datent de 2000, depuis 300 projets ont été proposés (politique de la ville pour la moitié), exemple projet [[http://www.intergenerations.infini.fr/ intergener@tions]] (élèves en grande difficulté scolaire). Essayer de repérer les initiatives locales pour les valoriser via l'appel à projet; et les valoriser par des communications. **Donner à voir** magazine où les gens présentent leurs projets (+/-20 articles/semaine). Grande reconnaissance de celui qui produit. "Pouvoir écrire à égalité", "l'envie et l'apétit de donner la parole aux associations". A l'issu de la formation, donnons à voir ce que nous faisons à Cooptic, mais aussi toutes les formations d'Animacoop; il faut publier. **Mettre en commun** Production CD libres donné à tous les étudiants de Brest Les carnets collaboratifs du Pays de Brest Wiki-Brest: écriture totalement ouverte (environ 1000 personnes qui écrivent). Faire le choix des biens communs, garantit une attirance des gens pour participer. Sur Brest, peu de culture de webmaster. **Outiller** méthodologie à la collaboration, essaimer dans la société cantine collaborative : un atelier tous les soirs, lieu de croisement des compétences. **Relier** Que les gens porteurs de projet deviennent expert de leur projet. "Libre, coopératif, solidaire et durable" =====Atelier===== **Yeswiki avancé avec Laurent M.** les besoins de tous: changer les looks du wiki, mise en place d'un wiki pour un groupe, appropriation, structuration par un groupe, insérer un calendrier, un rétro planning, une gallerie photo, une carte; usages possibles; création d'une page, gestion de l'architecture, bazar Installer un wiki : aller sur yeswiki.net pour télécharger l'application, nécessite avoir un serveur, moins de 30 euros/an. Télécharger l'application, fichier compressé à décompresser, mettre sur le serveur, configuration des divers wiki [[ pour cacher le ChaMo A priori y'a pas d'organisation et je peux réorganiser tout au long du projet. On peut travailler juste que sur du texte, inclure des images (ne pas oublier de mettre "" avant et après le code qu'on récupère sur les sites. On peut aussi insérer un site en changeant juste l'adresse url dans le code. Petites fonctionnalités cachées : - diaporama: sur le wiki mettre diapo 1 (photo) - diapo 2 (texte) - diapo 3; en les mettant à chaque fois en titre 2, et en bas "diaporama"; il faut hiérarchiser. Dans tableau de bord, on voie tous les derniers changements et les pages installées par défaut; je peux avoir un plan du site (arbo à partir de la 1er page). Index des pages (= modes d'emploi) : on peut récupérer des actions préinstallées; ex fonction login qu'on peut installer sur la page d'accueil (interface sui me permet de me connecter). Si je me met en admin, je peux gérer des droits : lecture, écriture, commentaires (je met + dans la case). Quand je suis administrateur, je peux changer la mise en page (1, 2, 3 colonnes, changer les couleurs,...). Page orpheline : on a perdu les liens qui vont vers cette page, on peut la retrouver. On peut télécharger des thèmes graphiques On peut télécharger des extensions, à télécharger au prélabale sur le serveur (à rajouter dans dossier tools du wiki en cours) Une ferme de wiki a été installé, on peut commencer à se les approprier. **Prezi avancé avec Hélène** ======Soirée du 3 mai====== COOPTIC en Belgique du 2 au 5 mai Jeudi 3 mai Soirée invité : M. Hubert Bedoret (chef de cabinet adjoint du ministre régional de l'environnement, de l'aménagement du territoire, de la mobilité et de la cartographie ; région wallonne) OJ Discussion sur l'intérêt du collaboratif Michel va présenter l'idée de collaboration, les biens communs, comment ça chamboule l'organisation sur les territoires Repérer des arguments et contre arguments (pour convaincre les interlocuteurs publics) **Présentation des partenaires du projet** **SupAgro Florac** Institut d'éducation à l'agro-environnement. Etablissement d'enseignement supérieur agronomique, (antenne du grand établissement Montpellier SupAgro), situé en milieu rural à 200 km de Montpellier. Formations initiales (licences professionnelles) impulser des dynamiques, accompagner des réseaux de l'enseignement agricole **CRIE** **Aposta** Ecole de formation en Catalogne qui forme des coopératives et autres (4000 entreprises coopératives), 70 professeurs. **Outils réseaux** 8 salariés, accompagnent des gens qui coopérent (outils + techniques d'animation de réseaux). **M. Hubert Bedoret**, chef de cabinet adjoint du ministre de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de la mobilité, de la région wallonne. En charge de définir les grands axes de la politique des sols, des déchets, de l'eau, de la cartographie, éducation à l'environnement. Il n'est pas élu. La région soutient le réseau des CRIE Michel Briand (http://www.a-brest.net/auteur2.html) Elu municipal à Brest, en charge d’internet et du multimédia Vice président de Brest Métropole Océane en charge de l’Economie sociale et solidaire et de l’aménagement numérique du territoire Abordons trois sujets : 1. **Les biens communs** (open data, données ouvertes) rtes récupérées par des entreprises qui en font leur "beurre"... soit la question des données publiques librement réutilisées. Données ouvertes : http://fr.wikipedia.org/wiki/Donn%C3%A9es_ouvertes + http://www.data.rennes-metropole.fr/ 2009 : Brest libère ses données... aujourd'huui tendance de fond. opendata : rapidité avec laquelle le mouvement s'est répandu D'abord cartographie avec OSM (Open Street Map), carte qui a une valeur comparable aux "officielles". La Région Bretagne a compris l'intérêt des données libérées, et l'a fait avec la communauté OSM et a mis en place la plateforme Géo orchestra (http://www.georchestra.org/) Il existe des communautés actives de développeurs : important de travailler avec elles plutôt que les sociétés de service classiques. Portail Géo Bretagne (http://geobretagne.fr/accueil/). La Préfecture de la région Bretagne et la Région Bretagne ont mis en place une démarche partenariale d'échange de données avec les acteurs publics de l'aménagement du territoire. Cette démarche s'inscrit dans la constitution de l'infrastructure européenne d'échange de données publiques nommée INSPIRE. Ce portail est développé en logiciels libres. Ce qui est intéressant c'est que chacun (chaque service) reste propriétaire de ses données. Ce qui a été fait c'est une mutualisation des données et qui permet à tous l'accès à l'ensemble des données. La mutualisation a apporté de l'efficience. Quelques élus ont exigé que cette carto soit librement réutilisable, y compris par des entreprises. Ne revendent pas les données mais la plus value qu'elles en font (les services associées à ces données) => On passe de l'économie de la rente (achat de licence) à l'économie de service (fabrication de service). But : créer des services (covoiturage, multimodalités,..). Des services "dynamiques" se créent ! C'est top. La carte Open street map a remplacé la carte IGN comme le fond de carte sur le portail Géo-Bretagne = projet service de l'Etat -Région. Les gens fabriquent des objets avec des données, c'est gratuit, mais certains les reprennent et les vendent. Pas de limites/contraintes pour l'utilisation commerciale des données :si on empêche de revendre, on rate toute la création de ces services. Plaide pour une plateforme régionale plutôt que chaque ville bretonne développe sa propre p lateforme= économie d'échelle. Débat : M. Hubert Bedoret: - question du pouvoir, le partage de l'info reste un enjeu de pouvoir (les services ont du mal a partager leurs données) - enjeu complexe de la confidentialité : où commence t-elle et où s'arrête-t-elle ? ex. directive nitrates : pour faire des controles ils voudraient disposer des données sur les primes versées aux agriculteurs dans le cadre de la PAC. Mais c'est impossible : car données collectées dans un cadre donné et la législation ne permet de les réutiliser dans un autre usage. - question de la hiérarchie : autre forme d'enjeux de pouvoir (travailler pour l'intérêt de qqn d'autre extérieur au service...) - freins techniques : incompatibilité des données... - la question de la source authentique : légalement c'est important de pouvoir certifier le propriétaire des données (être légalement responsable des données). - Exemple : Directive Inspire (Europe) = harmoniser les données cartographiques : Infrastructure for Spatial Information in the European Community : http://fr.wikipedia.org/wiki/Infrastructure_for_Spatial_Information_in_the_European_Community Exemple : en Bretagne chacun reste propriétaire : interopérabilité au niveau des méta-données : on va chercher les données dans chaque base Accessibilité gratuite des données : si publiques, doivent être gratuites pour usage non marchand. Mais pour le marchand ? Il y a débat. Restrictions budgétaires: les propriétaires des données disent "on va pas les vendre cher, mais on doit récupérer un peu d'argent dessus tout de même pour faire tourner la boutique". Michel Briand : Article de Lionel Maurel sur les données culturelles Si on met des barrières sur les données, il faut des gens pour faire respecter les barrières. Souvent pas rentable. Les postes "de vente" revenaient plus chers que la vente des données... Combien de donnés vendues sont -elles rentables? Même les structures qui vendent des données (ex : IGN) s'intéressent aux données libres. Ce n'est pas incompatible de vendre des cartes papiers et de fournir des données gratuitement. Jean Michel Cornu : ex des logiciels libres. Le logiciel n'est pas vendu mais il y a besoin de service autour qui peut être vendu, lui ! Les sociétés d'informatique en logiciels libres vendent seulement des services, c'est le "en plus" qu'on vend. Loi de Metcalfe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_metcalfe - http://ca.wikipedia.org/wiki/Llei_de_Metcalfe ) Schéma ancré : plus c'est rare, plus ça a de la valeur. Maintenant : (ex. téléphone) c'est le nombre qui fait la valeur. Si on est seul à avoir un téléphone, ça ne sert pas à grand chose. Si on libére les données, on crée un socle de valeurs L'abondance. Pas de conflit entre la partie gratuite et le surplus qualitatif qui peut être payant. Le premier plan est gratuit, mais abondant, il crée de la valeur pour tout le monde (valeur sociale) ! induit des services qui eux se rentabilisent. Sur un plan politique, la question est de savoir à qui on donne ses données gratuitement ? Ex : les adresses. Va-t-on les donner à des sociétés qui font du mailing ? Les réserve-t-on aux sociétés qui en ont besoin ? Si c'est gratuit, c'est pour tout le monde. On ne peut pas choisir pour qui c'est gratuit ? Or il est difficile de "vendre" à un ministre qu'on va donner des adresses à des sociétés de mailing. JM Cornu : c'est différent car les adresses sont des données privées, pas des donénes d'intérêt général Quand on prend les vélib (vélos en libre service à Paris), il y a eu piratage sur les informations où trouver les vélos libres. Il en a fait un service sur internet (cf. données d'intérêt général) Il y a deux types de données : - les données personnelles : ex. données médicales/ - les données d'intérêt général : ex.données de cartographie) Quelles données libérées ? Uniquement les données d'intérêt général. Les données personnelles doivent être exclues du champ d'application des données ouvertes. Mais il y a une différence de législation entre la France et la Belgique. En France les données sont exclues /!\Garder la notion de pouvoir en tête pour en reparler plus tard. Collecte de données satellitaires (abonnements pour les topographes et pour les agriculteurs) On peut s'y abonner gratuitement, ce sont des données publiques Depuis 2 ans, croissance très forte du nombre d'agriculteurs abonnés : besoin d'un nouveau serveur Parallèlement une société privée est intéressée pour récupérer ses données et développer un service aux agriculteurs. En effet, l'administration ne rend pas de services aux agriculteurs, elle fournit juste les données que récupèrent les agriculteurs innovants. Une société privée voulait les données pour développer un service aux agriculteurs. Contrat avec la Région Wallonne : la société crée une plus value de service, et une plus value commerciale, mais investit elle-même dans le nouveau serveur (pour l'administation) Dans la négociation, il faudrait garder l'accés gratuit aux données sur le serveur de la société privée. 2. **La coopération** : en quoi les pratiques collaboratives peuvent être efficientes dès qu'il y a des ressources abondantes. Michel Briant : les pratiques collaboratives se développent énormément dans l'entreprise. Et ce n'est pas en marge : ce sont les grosses entreprises. Elles ne le font pas de façon militante mais parce que cela augmente leur efficacité (création de valeur). Exemple de Wikipédia, Sesamath, Open Street Map - Sesamath (http://www.sesamath.net/): Un petit collectif a réussi a créer une collection de livres, un système de formation à distance; interactivité et réactivité de la communauté, innovation pédagogique, une part de marché de 20% sur le marché des manuels de maths au collège, un million d'élèves en ligne en 2012... Envie de coopérer qui est démultipliée - Telabotanica (http://www.tela-botanica.org) : association qui n'a pas de subvention. 10 fois plus rapide de faire appel à des milliers de personnes => interlocuteur du Museum d'Histoire Naturelle. Plaisir de travailler ensemble qui produit de la valeur ajoutée. - Mouvement Colibri http://www.colibris-lemouvement.org/ : vivre plus durable sur le territoire, dépenser moins d'énergie Pratiques collaboratives : moyen d'organisation, acquis partagés avec les autres Faire en sorte que dans les subventions il y ait conditions de coopération et de biens communs. Dans l'enseignement si les profs ont des pratiques collaboratives (plutôt que : compétition, "on ne copie pas", etc...), cela va rejaillir sur l'éducation et donc sur les prochaines générations d'élèves. Le monde des entreprises le fait, les pouvoirs publics doivent s'y mettre (ex. : intérêt économique). Ils doivent créer des écosystèmes de coopération et arrêter de financer 10 fois la même chose Hubert Bedoret : Volet du pouvoir et de la hiérarchie Dans l'administration on est à 10000 lieues de la coopération. Ex. : même la note verte (instruction claire et précise du ministre) est nécessaire pour faire fonctionner les services de l'administration ! Autres exemples : les dossiers remis par l'administration pour préparer la décision du ministre... et quand on pose la question à l'admin et vous vous en pensez quoi ? ils veulent pas répondre car "peur" ou "..."... du coup quand on parle de coppération et de confiance reciproque... c'est bof ! C'est le ministre qui, au final, portera la responsabilité de la décision. C'est intéressant de multiplier les avis mais nous en sommes loin car le fonctionnement hiérarchique est encore dominant. Déresponsabilité de l'administration dans leurs compétences : les services demandent une décision ministérielle alors qu'ils ont l'expertise ! Bâton de la hiérarchie derrière. Jeux de pouvoir. Idée de responsabilisation réciproque qui s'oppose au poids de la hiérarchie L'avis de l'administration devrait faciliter la décison du ministre, qui prendra ses responsabilité en cas de problème. Les avis apportent de la valeur pas forcement la responsabilité Nécessite un changement de paradigme. Le culte du chef (à tous les niveaux) est le dogme à la région wallonne. Deux pistes : rendre l'institution + coopérante / les personnes sur le terrain ??? JM Cornu : Choc culturel car toute la politique s'est créée dans la gestion des contraintes, où ne rien faire est le plus sur.... La gestion des opportunités est laissé à l'extérieur. Passer d'une logique de gestion des contraintes à une logique de gestion des opportunités. Plusieurs sénarios envisageables : - Gérer simultanément les contraintes et les opportunités ! - L'administration gère les contraintes et la société civile traite des opportunités ! - Une partie de l'administration se consacre à la gestion des contraintes, un petit groupe se concentre sur les opportunités (structure de type "recherche et développement") L'avis éclairé recherché par le ministre peut venir de l'extérieur = des professionnels de l'oportunité. Choix politique: une partie de l'admin qui se structurent pour créer de nouvelles opportunités. Equivalent de R&D des entreprises ! Nécessité d'un service Innovation Est-ce qu'un territoire peut vivre sans innover? Pas avec la structure classique Des innovants il y en a mais pas structuré (des personnes un peu partout) donc inefficient. Bon exemple dans les bateaux : endroit contraint + initiatives, exemple je sauve le bateau en faisant quelque chose non admis. La prochaine fois, si j'ai été puni, je refait pas, le bateau coule; si trop contraint, rien ne se passe et le bateau coule aussi Le but des associations : fonction observatoire, exploration de nouvelles pistes. Nécessité de protéger sinon récupération politique => nouveau pouvoir, ou l'entreprise => économie. Protection nécessaire pour permettre l'innovation. Plein de services (services à la personne, tourisme responsable, etc) ont été crées par l'Economie Sociale et Solidaire ; puis, comme elles n'ont pas été protégées, elles ont été piquées par les entreprises classiques. Ex. : économie d'énergie passeront par des mécanismes d'innovation sociale. Une innovation ascendante. La collectivité doit animer cette innovation. Le changement réside dans la capacité des citoyens à inventer de nouveaux modes de vie (chauffage, déplacement, habitat ...) 3. **L'innovation sociale** : en lien avec Imagination for people, question de l'innovation sociale, ascendante; comment des acteurs publics peuvent laisser une place à ces initiatives On se trouve face à une société qui risque de se briser si on ne parvient pas à impliquer les gens... Il faut inventer des modes de gouvernance différents pour surmonter les situations de crise. Cf : les "Villes en transition" où des milliers de personnes se mobilisent pour changer les choses Territoires en transition : penser global, agir local. La compréhension globale va de pair avec l'agissement local. JMC : questions de plus en plus complexe dans notre société. Des fois, des petits gars font des trucs super ailleurs. repérer ce que les gens ont trouvé,, des bonnes idées pour vivre ensemble, on y rassemble les experts citoyens Imagination for People : http://imaginationforpeople.org/fr/ Inscription (ajout de projet, suivi, newsletter) : http://imaginationforpeople.org/fr/member/signup/ HB : accompagner l'initiative, la mettre en réseau, la valoriser JMC : présentation de 2 tests sur l'implication des citoyens par rapport à la mobilité (le cas du Grand Montréal, du Grand Lyon) http://www.optimodlyon.com Souvent on commence par consulter les consultants et comme il n'apportent pas de solution, à la suite d'eches repètés on arrive à la logique : peut être quelque part ailleurs, d'autres (des citoyens) ont trouvé des solutions. La consultation du citoyen arrive après les échecs du système habituel d'expertise, ce n'est pas encore le premier réflexe HB : - enjeu de pouvoir : attention l'action citoyenne est aussi un "enjeu" de pouvoir en Belgique pas top mais pas mauvais non plus (en terme outil législatif)... il y a quand meme de sérieuses limites (manipulation de la parole citoyenne) - but exploratoire de l'IS : (voir le cas de l'ERE) en période de fragilité budgétaire... efficience est le mot clé ! - "pourquoi on les finance en fait ? " "Qu'est ce qu'ils font ces gens, qu'est ce qu'ils produisent" (logique d'indicateurs) MAIS pas de visibilité et aussi des structures qui ne font rien ! du coup... ces structures financées par les pouvoirs publics Comment évaluer ces structures et ce qu'elles produisent? dans un contexte où l'organisation générale pousse au contrôle accru alors que l'innovation est non controlée ! Du coup l'évaluation est à construire (choix des indicateurs) Gatien : Moyen pour le financeur de se rendre compte de l'innovation: Licences de Biens Communs pour rendre visible et libérer, valoriser les créations. Cela donnera une idée de la production, et permettra de mieux distirbuer (qu'est-ce qui est produit? peut-on faire plus, ou mieux?) JMC : 3 cas de figures La structure n'a rien fait La structure a innové La structure recherche l'innovation là ou elle est produite La vraie question est de voir comment ANIMER cette recherche d'innovation ? Comment on évalue a posteriori (élements inattendus)? Faire le choix de financer l'animation et la recherche des lieux d'innovation, l'animateur ne doit pas être tout seul, qui va trouver des moyens innovants, créer de la valeur. LM : on passe de données libres, à libération des processus d'innovation. - Notion des "sources authentiques" Aménagement du territoire HB: exemple en aménagement du territoire Autorisations en urbanisme établies par le demandeur, pièces à amener, actes administratifs et decision (possibilité de recours) Temps officiel (quand le dossier rentre dans la "machine") : délai de décision rigide, et lourdeur des éléments contenus, avec l'impossibilité de modifier le dossier (car "source authentique"). On ne peut améliorer une "source authentique", il faudrait pouvoir le faire mais en restant authentique. Autre exemple : les relevé cartographiques, fait avec des logiciels et logiques différentes : actuellement 5 couches !! Laquelle est "authentique" ? Et c'est important, notamment pour la cadastre Si on développe de la collaboration, on ne peut tout de même pas se passer de "source authentique" LM: Exemple de Tela Botanica Experts du MHN plus en mesure de maintenir les listes de noms des plantes à jour. 2 logiques: 16 emplois-jeunes qui ne s'en sortent pas / mise à jour par les 4000 participants du réseau (mais liste non officielle) Finalement, une liste plus crédible pour Tela Botanica, et bataille juridique. c'est un système globalement efficace, et les données sont régulièrement finalement estampillée par la légitimité "chercheurs" (mais parfois obsolètes). Et les deux logiques se confondent finalement: les chercheurs enrichissent les données de réseau Tela Voir comment on peut les faire coopérer, les faire converger. - Rapport d'étonnement + des pistes de mise en oeuvre question d'outil collaboratif entre les différentes structures Contraintes/opportunités: dissocier les tâches dans differentes structures. Il y a 10 ans, on ne parlait pas de ces logiques donc il y a une évolution ! **Les points qui frottent / pierres d'achoppement" ** Est-il normal (éthique ?) que les entreprises privées fassent du beurre avec les données libres ? Est ce vraiment vrai que les biens communs provoquent de l'éfficience ? Implication des gens? Les acteurs publics doivent ils tirer profit des biens communs pour une meillere gouvernance ? La question qui reste c'est la question de la plateforme ? HB : dans pouvoirs publics Rw : le problème c'est la question du pouvoir... HB : problème de la vie privée par exemple sur les données nitrate... HB : problème du croisement des fichiers et bases de données différentes HB : question de la hierarchie / le directeur du service n'est pas tjrs d'acord que les personnes de son service collaborent avec d'autres services HB : la compatibilité des données.... pas du tout interopérable même quand l'envie de collaborer est là HB la question des source authentique... garantie que tel service est le garant HB : gratuité... dans un monde de restrictions budgétaires HB : si vous mettez ces données gratuites, au niveau éthique... - la banque d'adresses = on la donne au privé qui inonde les boites de pub HB : du point de vue politique/// quand on est confronté aux structures adminstratifs... on est à mille lieux de la coopération (voir le cas de la "note verte") .. HB on est vraiment loin des pratiques coopératives actuelement en Wallonie... on est dans une logique de "culte du chef" - Argumentaire - il y a une tendance lourde de libérer les données publiques - il y a bcq de personnes prêtes à créer du contenu (voir OMS) et de le faire de qualité - La mutualisation des données récoltées ont permis de se rendre compte que les données étaient déjà présentes ... du coup efficience ! sans mettre plus de sous=> plus de données !!!! génial - les données publiques sont là... en libérant celles-ci on incite les entreprises à créer des services et d'apport de la valeur ajoutée à ces données brutes.... voir par exemple les services de covoiturage né en bretagne - on peut avoir de la qualité... ex : la carte officielle de géobretagne c'est OSM... et c'est l'ETAT - on remplace la rente par le service - il existe des licences pour faire ça sans souci ! -Moyen pour le financeur de se rendre compte de l'innovation: Licences de Biens Communs pour rendre visible et libérer, valoriser les créations. Cela donnera une idée de la production, et permettra de mieux distirbuer . On libère les données mais vous devez faire mieux ! *******************Attention******************* -----Ici commence une prise de note parallèle, il faudra faire des copier coller + haut le cas échéant mais là je suis trop crevée--------- - IGN en france n'a pas voulu filer ses données... - les données brutes n'ont pas vraiment de valeur... le coût de leur vente (facure et autre) ne couvre pas le coût - role du politique : "obliger" à l'utilisation des Lic CC pour éviter de financer 2 fois la meme chose - la proposer dans le secteur associatif permet aussi de faciliter son implémentation dans l'administration - Prob de la vente / voir avec logiciel libre bcq de gens font de l'argent avec des trucs gratuits voir vente de service autour des logiciels libres... Plus c'est rare, plus ça a de la valeur (avant) maintenant plus on est nombreux plus ça a de la valeur Tout n'est pas à partager... par exemple les adresses postales... pas génial, il faut plut^t travailler sur les donnes qui permettent de génrer plutot du bien commun.... la coopération est efficace / voir son utilisation dans l'entreprise voir exemple Sesamath... à 5 ils font mieux que tout ce qui a été payé par le pubic et ce sans un sous public voir telabotanica / ======Notes du 4 Mai====== 4 mai Tour de table d'étonnement et de secouage de cocotier 3 scénarios, en petit groupe, élaborer des rubans pédagogoqiues bar camp à tonalité pédagogique Aération Projet collaboratif Activités à la carte : bar camp, accélérateur de projet,... Ruban pédagogique: http://coop-tic.eu/formation/wakka.php?wiki=ActiviteConcevoirsaformation Identifier cette notion, les étapes nécessaires pour faire une formation (cf cours en ligne) Décliner les objectifs en connaissances à organiser dans le temps. Aujourd'hui: conception d'architecture de formation Découpage en séquences, et répartition dans le temps de la journée (ruban pédagogique) Contexte : 3 situations (scénario fictif), on va jouer!!! situation 1 : assocaition pour promouvoir TIC Eviter de se prendre la tête avec les différentes étapes... Si quand même besoi de supports (objectifs, besoins,...), cf contenu cours http://coop-tic.eu/formation/wakka.php?wiki=ActiviteConcevoirsaformation revoir tableau des compétences Mais osez inventer! Situation 3 : Vous êtes formateur dans un organisme de formation. Votre structure organise des formations longues de type licence et master. Vous avez souvent discuté avec les enseignants responsables des différentes unités d'enseignement et il s'avère que vous êtes nombreux à penser qu'il est important que vos étudiants développent des compétences collaboratives. Vous êtes convaincu que ces compétences leur seront utiles durant les études (l'apprentissage collaboratif étant selon vous plus efficace) mais aussi plus tard dans leurs métiers. Savoir collaborer est selon vous synonyme d'innovation. Vous êtes motivé(e) et le responsable de la structure vous demande d'élaborer une proposition de formation pour vos étudiants. A vous de décider des contenus et des modalités de mise en œuvre. Remarques : préparer la réunion de prépration en amont, se mettre au clair sur l'objectif, les compétences Restitution autour de chaque groupe Situation 1 : partir d'une situation globale, et entrevoir une progression Penser au fait qu'il peut y avoir un prescripteur de formation Découper chaque module jsuqu'au regroupemetn, arriver à un découpage asse fin Présentiel et à distance. Evaluer le temps de travail réel. Feuille d'émargement. Niveau de questionnement de plus en plus précis. Système d'évaluation à prévoir Avoir une vision des objectifs, arriver à les préciser. Situation 2: formation impliquante, en amont, faire participer les gens du réseau à une enquête en ligne. ne journée de rassemblement. L'objectif n'est pas affiché en premier, les faire travailler dessus insidieusement. Rendre visible les résultats d'une enquête. Peut-être pas leformulaire en ligne, plutôt par téléphone, de façon plus personnelle. Situation 3 : trouver une démarche collective, s'entendre sur les concepts, et ça prend du temps qui n'est souvent pas prévu. dans posture et démarche : sensibiliser les élèves aux biens communs. Il faut connecter aux autres cours, appliquer au projet tutoré tableau : compétences: motiver un groupe, utiliser les outils collaboratifs, veiller sur le projet en cours, écouter, gérer les conflits, percevoir l'intérêt du collaboratif (cours : 12 facettes 3h), savoir estimer le temps d'une séquence / objectifs / contenus / modalités, activités / temps. Bar camp Voir tableau Linoit Formation : brise glace / meta plan Animation : coconstruction créative **Meta plan** contexte : effectif 10 personnes, tout le monde doit répondre à une question. Technique animation et pouvoir faire exprimer les gens timides. 1 question : 3 mois qu'oin travaile de manière collabo, quel sont les freins à la collabo et ce qui facilite.; cgacun note ce qui facilite et ce qui bloque : 3 post-it de freins, 3 post-it de facilitateurs (de couleur différentes) 60 post-it. aVOIR UN TABLEAU. Un cercle et on met un post-it au hasard au centre. Et je demande à la personne d'expliciter. je demande aux gens si ils ont compris si il ya des question. Pas de débat. Si ok, j'enlève du cercle, je le met à droite. Tout le monde s'est exprimé. Tout le monde est d'accord sur les concepts = validation collective. On reprend les post-it. Je les étale n'importe comment sur le tableau. Les gens se mettent en file indienne, et chacun prend un post-it et le rapproche d'un autre qui est un sujet proche. Une deuxième personne reprend un autre post-it et le rapproche d'un autre. Ecrire gros sur le post-it. On passe deux à trois fois. Se dessine des groupes de post-it. Si déplace un post, un début de tension s'amène. Tout le monde repasse. Si encore changement, l'animateur arrête et demande explication. Les deux doivent s'expliquer et font un choix. L'animateur repère les tensions sur les post. Quand on a vision globale on reformule les "titres des groupes". Je fais une patate, je met un titre au groupe de post. ne pas bloquer sur un seul intitulé sans avoir trvailler sur tous les groupes. De manière collective : types de réponses, grand domaines. Réponse aux freins et facilitateurs; je peux rédiger quelque chose sur la synthèse des réflexions communes; et je le transforme en argumentaire. Le groupe a validé le regroupement, les titres. Certains sont contre les post-it (colle néfaste), utiliser les magnets, ou papier recyclé et scotch (mais aps de couleur) Il faut trouver une solution pour "avoir 3000 adhérents"; que tout le monde puisse proposer sa solution, que tout le monde prenne la parole. Appliqué à une situation problème; l'expression du problème er recherche de solutions collaborativement. Autre application : receuil de représentations. Prévoir 2 heures Se l'approprier en fonction du nombre, de la question. Si conflit : dépend des situations, le chieur discute avec l'autre et on donne pas la parole au groupe; si quelqu'un est en blocage, je demande au groupe de participer et de l'aider à reformuler. complément pour voir après : Metaplan http://www.metaplan.fr/downloads/Guide%20pratique%20les%20regles%20de%20la%20methode.pdf - technique d'animation - effectif 10 personnes maximum (idéal 8 personnes et deux post-it) - permet de gérer les grandes gueles et de pouvoir faire s'exprimer des gens un peu en retrait tems ? Temps : 2 heures matos - 1 tableau - un paquet de post'it - des marqueurs Activité : je pose la quesion quel sons les frein de notre collaboration quels sont les faciilitateru les personnes écrives les idées une idée par postits 6 idées maximum par personne educ-agri édition .... biblo := à mettre sur le wiki 1, phase d'expilication post-it passe de gauche de à droite 2 classement -animateur mets les pt n'importe comment sur les tableux - file indienne , un par un les personnes passent Visite de la ville de Tournai, petite vidéo Bar camp: - screeen cast avec gatien - GTD Pomodoro avec Laurent - Hoot suite avec Olga - Scrum avec laurent ======Notes du 5 Mai====== N'hésitez pas à commander des ouvrages, et pensez à communiquer (avec mention du programme Leonardo) Prochain regroupement : 19 - 20 et 21 à Sète, au [[http://www.lazaretsete.com/-Presentation- Lazaret ]] **Rappel** Concevoir une formation a présenter en septembre (assez loin dans le détail) à 3 groupes (6 personnes), en perspective d'une formation réelle. Cours s'arrêtent en juin, puis modules à la carte (j'offre/je demande), moments de formation synchrone à distance. Chacun des pays doit proposer une formation à 15 personnes en janvier. Va être produit des rubans pédagogiques, des bouts de modules,... Mise en commun des pépites (un truc super riche qu'on veut socialiser) 30', en sortir des thématiques, et en sortir des pistes de formation (exercices), amorcer en présence ce qui va suivre, proposition de bar camp à distance. **Pépito mi corazon = Les pépites à partager ** - il existe des situations complexes dans lesquelles, malgré l'apport de solutions, les portes restent fermées La pépite dans ce genre de cas s'appelle "méthode CoopérationRéciprocitéPardon" (voir cornu) - outils : "ni maître, ni esclave" : réflexion à creuser (Ivan Illich) - méthodes d'organisation des tâches (pour dégager du temps pour le projet cooptic ;-) - efficience) - réflexion à creuser : - formulation/construction des objectifs - visibilité des objectifs - tension entre projet planifié - projet coopératif où l'on s'adapte à l'imprévisible... : ne pas culpabiliser de ne pas atteindre ses objectifs initiaux, voire de se mettre en position de "léger mensonge" par rapport à son "subsidiant ou commanditaire"? - pédagogie par l'exemple : adéquation (cohérence) entre le faire et le vouloir... difficile de parler de coopération à un groupe si on ne le vis pas déjà soi-même... pas de crédibilité - outils à développer : - les méthodes d'évaluation qualitatives à l'attention des "commanditaires". En tous cas quand on parle d'éducation. - sentiment d'appartenance passe a minima par la visibilité du groupe par le groupe + que ce soit récurrent et ne pas perdre cet aspect lorsque le groupe s'agrandit d'années en années (choisir l'outil adéquat) - Impliquer les participants dans la construction de la formation. - Identifier clairement les besoins du groupe - Découper un projet (objectif) en séquences (sous-objectifs) (pas de A à Z mais découpé en étapes). A chaque étape, on fait le point (discussion) pour savoir si les objectifs ont été remplis. On peut en profiter pour réadapter les autres étapes suite à la discussion (Scrum) - Impliquer la hiérarchie pour connaître les besoins des responsables - Se préoccuper de l'aspect "convivialité" - Système brise de glace incontournable. Bien choisir sa méthode en fonction du groupe - utiliser les jeux collaboratifs (numériques) pour sensibiliser à la collaboration, - mieux cerner l'attente des participants - pousser à l'analyse des problèmes - mieux formuler son projet - bien définir les finalités et objectifs du réseau - gestion distanciel / présentiel dans une formation, et animation d'un réseau (dés le démarrage) - avoir une vision commune à court, moyen et long terme du réseau - formulation de la question de départ - bien distinguer els objectifs personnels, académiques, et institutionnels - calage et redimensionnement du processus d'apprentissage Mise en forme (copier coller dans freeplane); Pistes transversales. **Proposition de formations** - formation gestion de projets collaboratifs / coopératifs en système contraint x 5 - intérêt en enjeux de la démarche et outils collaboratifs x 4 - former à la collaboration à distance (réseau de formation permanente et continue à distance / multilingue/multiculturel) - former à la coopération sur des territoires (territoires apprenants / concertation sur els territoires 0 charte de développement / natura 2000) - formation LSD - introduire la coopération dans des formations existantes (initiale ou continue) 3 groupes **Outils à utiliser lors de notre formation** **Etherpad ** - indispensable d'être vécu en présence la première fois **Accélérateur de projet** Avantages : - contrainte de temps (on s'en tient à l'essentiel) - contrainte de silence (on ne pollue pas la discussion avec des argumentaires pour se "défendre") - les autres réfléchissent pour nous (riche) Outils qui font participer tout le monde / où tout le monde peut et doit s'exprimer (ex : Métaplan). **Brise-glace !!!** et non brise de glace. Merci Distinction groupes ouverts/fermés: "salle des profs" et convivialité/ sérendipité nombre de participants: élargir les groupes pour produire plus de sens et fonctionner collaborativement Trouver un intérêt commun, une finalité, une histoire commune Formation très large, qui permette de se former à distance, multi-langue: pour s'adresser à des publics en dehors de nos radars, de nos réseaux (pour qu'il trouve la formation par sérendipité). endroits d'ouverture, même dans des groupes à vocation fermées! Coopération catalane: un objectif implicite, exemple de la journée de formation de Jordi, il faut au départ un intérêt individuel qui permette de faire ensuite apprécier l'intérêt de la coopération **Besoins Bar Camps** Promouvoir l'apprentissage entre les élèves Les groupes se forment [[DeuxMai Notes du 2 mai après-midi]] [[TroisMai Notes du 3 mai]] [[SoirEe Soirée du 3mai]] [[QuatreMai Notes du 4 Mai]] [[CinqMai Notes du 5 Mai]]
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