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Etape 2
3 : Coopération multi-facettes
4 : Analyser ses réseaux
5 : Former à la collaboration
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7: Licences libres
Etape 3
8 : Quels outils pour quoi faire ?
9 : Gestion collaborative de projet
10 : Formation des formateurs
11 : Réseaux et territoires
12 : Freins et facilitateurs
Etape 4
13 : Écrire pour le Web
14 : Etre formateur 2.0
15 : Modules à la carte
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16 : Consolider le réseau
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======Soirée du 3 mai====== COOPTIC en Belgique du 2 au 5 mai Jeudi 3 mai Soirée invité : M. Hubert Bedoret (chef de cabinet adjoint du ministre régional de l'environnement, de l'aménagement du territoire, de la mobilité et de la cartographie ; région wallonne) OJ Discussion sur l'intérêt du collaboratif Michel va présenter l'idée de collaboration, les biens communs, comment ça chamboule l'organisation sur les territoires Repérer des arguments et contre arguments (pour convaincre les interlocuteurs publics) **Présentation des partenaires du projet** **SupAgro Florac** Institut d'éducation à l'agro-environnement. Etablissement d'enseignement supérieur agronomique, (antenne du grand établissement Montpellier SupAgro), situé en milieu rural à 200 km de Montpellier. Formations initiales (licences professionnelles) impulser des dynamiques, accompagner des réseaux de l'enseignement agricole **CRIE** **Aposta** Ecole de formation en Catalogne qui forme des coopératives et autres (4000 entreprises coopératives), 70 professeurs. **Outils réseaux** 8 salariés, accompagnent des gens qui coopérent (outils + techniques d'animation de réseaux). **M. Hubert Bedoret**, chef de cabinet adjoint du ministre de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de la mobilité, de la région wallonne. En charge de définir les grands axes de la politique des sols, des déchets, de l'eau, de la cartographie, éducation à l'environnement. Il n'est pas élu. La région soutient le réseau des CRIE Michel Briand (http://www.a-brest.net/auteur2.html) Elu municipal à Brest, en charge d’internet et du multimédia Vice président de Brest Métropole Océane en charge de l’Economie sociale et solidaire et de l’aménagement numérique du territoire Abordons trois sujets : 1. **Les biens communs** (open data, données ouvertes) rtes récupérées par des entreprises qui en font leur "beurre"... soit la question des données publiques librement réutilisées. Données ouvertes : http://fr.wikipedia.org/wiki/Donn%C3%A9es_ouvertes + http://www.data.rennes-metropole.fr/ 2009 : Brest libère ses données... aujourd'huui tendance de fond. opendata : rapidité avec laquelle le mouvement s'est répandu D'abord cartographie avec OSM (Open Street Map), carte qui a une valeur comparable aux "officielles". La Région Bretagne a compris l'intérêt des données libérées, et l'a fait avec la communauté OSM et a mis en place la plateforme Géo orchestra (http://www.georchestra.org/) Il existe des communautés actives de développeurs : important de travailler avec elles plutôt que les sociétés de service classiques. Portail Géo Bretagne (http://geobretagne.fr/accueil/). La Préfecture de la région Bretagne et la Région Bretagne ont mis en place une démarche partenariale d'échange de données avec les acteurs publics de l'aménagement du territoire. Cette démarche s'inscrit dans la constitution de l'infrastructure européenne d'échange de données publiques nommée INSPIRE. Ce portail est développé en logiciels libres. Ce qui est intéressant c'est que chacun (chaque service) reste propriétaire de ses données. Ce qui a été fait c'est une mutualisation des données et qui permet à tous l'accès à l'ensemble des données. La mutualisation a apporté de l'efficience. Quelques élus ont exigé que cette carto soit librement réutilisable, y compris par des entreprises. Ne revendent pas les données mais la plus value qu'elles en font (les services associées à ces données) => On passe de l'économie de la rente (achat de licence) à l'économie de service (fabrication de service). But : créer des services (covoiturage, multimodalités,..). Des services "dynamiques" se créent ! C'est top. La carte Open street map a remplacé la carte IGN comme le fond de carte sur le portail Géo-Bretagne = projet service de l'Etat -Région. Les gens fabriquent des objets avec des données, c'est gratuit, mais certains les reprennent et les vendent. Pas de limites/contraintes pour l'utilisation commerciale des données :si on empêche de revendre, on rate toute la création de ces services. Plaide pour une plateforme régionale plutôt que chaque ville bretonne développe sa propre p lateforme= économie d'échelle. Débat : M. Hubert Bedoret: - question du pouvoir, le partage de l'info reste un enjeu de pouvoir (les services ont du mal a partager leurs données) - enjeu complexe de la confidentialité : où commence t-elle et où s'arrête-t-elle ? ex. directive nitrates : pour faire des controles ils voudraient disposer des données sur les primes versées aux agriculteurs dans le cadre de la PAC. Mais c'est impossible : car données collectées dans un cadre donné et la législation ne permet de les réutiliser dans un autre usage. - question de la hiérarchie : autre forme d'enjeux de pouvoir (travailler pour l'intérêt de qqn d'autre extérieur au service...) - freins techniques : incompatibilité des données... - la question de la source authentique : légalement c'est important de pouvoir certifier le propriétaire des données (être légalement responsable des données). - Exemple : Directive Inspire (Europe) = harmoniser les données cartographiques : Infrastructure for Spatial Information in the European Community : http://fr.wikipedia.org/wiki/Infrastructure_for_Spatial_Information_in_the_European_Community Exemple : en Bretagne chacun reste propriétaire : interopérabilité au niveau des méta-données : on va chercher les données dans chaque base Accessibilité gratuite des données : si publiques, doivent être gratuites pour usage non marchand. Mais pour le marchand ? Il y a débat. Restrictions budgétaires: les propriétaires des données disent "on va pas les vendre cher, mais on doit récupérer un peu d'argent dessus tout de même pour faire tourner la boutique". Michel Briand : Article de Lionel Maurel sur les données culturelles Si on met des barrières sur les données, il faut des gens pour faire respecter les barrières. Souvent pas rentable. Les postes "de vente" revenaient plus chers que la vente des données... Combien de donnés vendues sont -elles rentables? Même les structures qui vendent des données (ex : IGN) s'intéressent aux données libres. Ce n'est pas incompatible de vendre des cartes papiers et de fournir des données gratuitement. Jean Michel Cornu : ex des logiciels libres. Le logiciel n'est pas vendu mais il y a besoin de service autour qui peut être vendu, lui ! Les sociétés d'informatique en logiciels libres vendent seulement des services, c'est le "en plus" qu'on vend. Loi de Metcalfe (http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_metcalfe - http://ca.wikipedia.org/wiki/Llei_de_Metcalfe ) Schéma ancré : plus c'est rare, plus ça a de la valeur. Maintenant : (ex. téléphone) c'est le nombre qui fait la valeur. Si on est seul à avoir un téléphone, ça ne sert pas à grand chose. Si on libére les données, on crée un socle de valeurs L'abondance. Pas de conflit entre la partie gratuite et le surplus qualitatif qui peut être payant. Le premier plan est gratuit, mais abondant, il crée de la valeur pour tout le monde (valeur sociale) ! induit des services qui eux se rentabilisent. Sur un plan politique, la question est de savoir à qui on donne ses données gratuitement ? Ex : les adresses. Va-t-on les donner à des sociétés qui font du mailing ? Les réserve-t-on aux sociétés qui en ont besoin ? Si c'est gratuit, c'est pour tout le monde. On ne peut pas choisir pour qui c'est gratuit ? Or il est difficile de "vendre" à un ministre qu'on va donner des adresses à des sociétés de mailing. JM Cornu : c'est différent car les adresses sont des données privées, pas des donénes d'intérêt général Quand on prend les vélib (vélos en libre service à Paris), il y a eu piratage sur les informations où trouver les vélos libres. Il en a fait un service sur internet (cf. données d'intérêt général) Il y a deux types de données : - les données personnelles : ex. données médicales/ - les données d'intérêt général : ex.données de cartographie) Quelles données libérées ? Uniquement les données d'intérêt général. Les données personnelles doivent être exclues du champ d'application des données ouvertes. Mais il y a une différence de législation entre la France et la Belgique. En France les données sont exclues /!\Garder la notion de pouvoir en tête pour en reparler plus tard. Collecte de données satellitaires (abonnements pour les topographes et pour les agriculteurs) On peut s'y abonner gratuitement, ce sont des données publiques Depuis 2 ans, croissance très forte du nombre d'agriculteurs abonnés : besoin d'un nouveau serveur Parallèlement une société privée est intéressée pour récupérer ses données et développer un service aux agriculteurs. En effet, l'administration ne rend pas de services aux agriculteurs, elle fournit juste les données que récupèrent les agriculteurs innovants. Une société privée voulait les données pour développer un service aux agriculteurs. Contrat avec la Région Wallonne : la société crée une plus value de service, et une plus value commerciale, mais investit elle-même dans le nouveau serveur (pour l'administation) Dans la négociation, il faudrait garder l'accés gratuit aux données sur le serveur de la société privée. 2. **La coopération** : en quoi les pratiques collaboratives peuvent être efficientes dès qu'il y a des ressources abondantes. Michel Briant : les pratiques collaboratives se développent énormément dans l'entreprise. Et ce n'est pas en marge : ce sont les grosses entreprises. Elles ne le font pas de façon militante mais parce que cela augmente leur efficacité (création de valeur). Exemple de Wikipédia, Sesamath, Open Street Map - Sesamath (http://www.sesamath.net/): Un petit collectif a réussi a créer une collection de livres, un système de formation à distance; interactivité et réactivité de la communauté, innovation pédagogique, une part de marché de 20% sur le marché des manuels de maths au collège, un million d'élèves en ligne en 2012... Envie de coopérer qui est démultipliée - Telabotanica (http://www.tela-botanica.org) : association qui n'a pas de subvention. 10 fois plus rapide de faire appel à des milliers de personnes => interlocuteur du Museum d'Histoire Naturelle. Plaisir de travailler ensemble qui produit de la valeur ajoutée. - Mouvement Colibri http://www.colibris-lemouvement.org/ : vivre plus durable sur le territoire, dépenser moins d'énergie Pratiques collaboratives : moyen d'organisation, acquis partagés avec les autres Faire en sorte que dans les subventions il y ait conditions de coopération et de biens communs. Dans l'enseignement si les profs ont des pratiques collaboratives (plutôt que : compétition, "on ne copie pas", etc...), cela va rejaillir sur l'éducation et donc sur les prochaines générations d'élèves. Le monde des entreprises le fait, les pouvoirs publics doivent s'y mettre (ex. : intérêt économique). Ils doivent créer des écosystèmes de coopération et arrêter de financer 10 fois la même chose Hubert Bedoret : Volet du pouvoir et de la hiérarchie Dans l'administration on est à 10000 lieues de la coopération. Ex. : même la note verte (instruction claire et précise du ministre) est nécessaire pour faire fonctionner les services de l'administration ! Autres exemples : les dossiers remis par l'administration pour préparer la décision du ministre... et quand on pose la question à l'admin et vous vous en pensez quoi ? ils veulent pas répondre car "peur" ou "..."... du coup quand on parle de coppération et de confiance reciproque... c'est bof ! C'est le ministre qui, au final, portera la responsabilité de la décision. C'est intéressant de multiplier les avis mais nous en sommes loin car le fonctionnement hiérarchique est encore dominant. Déresponsabilité de l'administration dans leurs compétences : les services demandent une décision ministérielle alors qu'ils ont l'expertise ! Bâton de la hiérarchie derrière. Jeux de pouvoir. Idée de responsabilisation réciproque qui s'oppose au poids de la hiérarchie L'avis de l'administration devrait faciliter la décison du ministre, qui prendra ses responsabilité en cas de problème. Les avis apportent de la valeur pas forcement la responsabilité Nécessite un changement de paradigme. Le culte du chef (à tous les niveaux) est le dogme à la région wallonne. Deux pistes : rendre l'institution + coopérante / les personnes sur le terrain ??? JM Cornu : Choc culturel car toute la politique s'est créée dans la gestion des contraintes, où ne rien faire est le plus sur.... La gestion des opportunités est laissé à l'extérieur. Passer d'une logique de gestion des contraintes à une logique de gestion des opportunités. Plusieurs sénarios envisageables : - Gérer simultanément les contraintes et les opportunités ! - L'administration gère les contraintes et la société civile traite des opportunités ! - Une partie de l'administration se consacre à la gestion des contraintes, un petit groupe se concentre sur les opportunités (structure de type "recherche et développement") L'avis éclairé recherché par le ministre peut venir de l'extérieur = des professionnels de l'oportunité. Choix politique: une partie de l'admin qui se structurent pour créer de nouvelles opportunités. Equivalent de R&D des entreprises ! Nécessité d'un service Innovation Est-ce qu'un territoire peut vivre sans innover? Pas avec la structure classique Des innovants il y en a mais pas structuré (des personnes un peu partout) donc inefficient. Bon exemple dans les bateaux : endroit contraint + initiatives, exemple je sauve le bateau en faisant quelque chose non admis. La prochaine fois, si j'ai été puni, je refait pas, le bateau coule; si trop contraint, rien ne se passe et le bateau coule aussi Le but des associations : fonction observatoire, exploration de nouvelles pistes. Nécessité de protéger sinon récupération politique => nouveau pouvoir, ou l'entreprise => économie. Protection nécessaire pour permettre l'innovation. Plein de services (services à la personne, tourisme responsable, etc) ont été crées par l'Economie Sociale et Solidaire ; puis, comme elles n'ont pas été protégées, elles ont été piquées par les entreprises classiques. Ex. : économie d'énergie passeront par des mécanismes d'innovation sociale. Une innovation ascendante. La collectivité doit animer cette innovation. Le changement réside dans la capacité des citoyens à inventer de nouveaux modes de vie (chauffage, déplacement, habitat ...) 3. **L'innovation sociale** : en lien avec Imagination for people, question de l'innovation sociale, ascendante; comment des acteurs publics peuvent laisser une place à ces initiatives On se trouve face à une société qui risque de se briser si on ne parvient pas à impliquer les gens... Il faut inventer des modes de gouvernance différents pour surmonter les situations de crise. Cf : les "Villes en transition" où des milliers de personnes se mobilisent pour changer les choses Territoires en transition : penser global, agir local. La compréhension globale va de pair avec l'agissement local. JMC : questions de plus en plus complexe dans notre société. Des fois, des petits gars font des trucs super ailleurs. repérer ce que les gens ont trouvé,, des bonnes idées pour vivre ensemble, on y rassemble les experts citoyens Imagination for People : http://imaginationforpeople.org/fr/ Inscription (ajout de projet, suivi, newsletter) : http://imaginationforpeople.org/fr/member/signup/ HB : accompagner l'initiative, la mettre en réseau, la valoriser JMC : présentation de 2 tests sur l'implication des citoyens par rapport à la mobilité (le cas du Grand Montréal, du Grand Lyon) http://www.optimodlyon.com Souvent on commence par consulter les consultants et comme il n'apportent pas de solution, à la suite d'eches repètés on arrive à la logique : peut être quelque part ailleurs, d'autres (des citoyens) ont trouvé des solutions. La consultation du citoyen arrive après les échecs du système habituel d'expertise, ce n'est pas encore le premier réflexe HB : - enjeu de pouvoir : attention l'action citoyenne est aussi un "enjeu" de pouvoir en Belgique pas top mais pas mauvais non plus (en terme outil législatif)... il y a quand meme de sérieuses limites (manipulation de la parole citoyenne) - but exploratoire de l'IS : (voir le cas de l'ERE) en période de fragilité budgétaire... efficience est le mot clé ! - "pourquoi on les finance en fait ? " "Qu'est ce qu'ils font ces gens, qu'est ce qu'ils produisent" (logique d'indicateurs) MAIS pas de visibilité et aussi des structures qui ne font rien ! du coup... ces structures financées par les pouvoirs publics Comment évaluer ces structures et ce qu'elles produisent? dans un contexte où l'organisation générale pousse au contrôle accru alors que l'innovation est non controlée ! Du coup l'évaluation est à construire (choix des indicateurs) Gatien : Moyen pour le financeur de se rendre compte de l'innovation: Licences de Biens Communs pour rendre visible et libérer, valoriser les créations. Cela donnera une idée de la production, et permettra de mieux distirbuer (qu'est-ce qui est produit? peut-on faire plus, ou mieux?) JMC : 3 cas de figures La structure n'a rien fait La structure a innové La structure recherche l'innovation là ou elle est produite La vraie question est de voir comment ANIMER cette recherche d'innovation ? Comment on évalue a posteriori (élements inattendus)? Faire le choix de financer l'animation et la recherche des lieux d'innovation, l'animateur ne doit pas être tout seul, qui va trouver des moyens innovants, créer de la valeur. LM : on passe de données libres, à libération des processus d'innovation. - Notion des "sources authentiques" Aménagement du territoire HB: exemple en aménagement du territoire Autorisations en urbanisme établies par le demandeur, pièces à amener, actes administratifs et decision (possibilité de recours) Temps officiel (quand le dossier rentre dans la "machine") : délai de décision rigide, et lourdeur des éléments contenus, avec l'impossibilité de modifier le dossier (car "source authentique"). On ne peut améliorer une "source authentique", il faudrait pouvoir le faire mais en restant authentique. Autre exemple : les relevé cartographiques, fait avec des logiciels et logiques différentes : actuellement 5 couches !! Laquelle est "authentique" ? Et c'est important, notamment pour la cadastre Si on développe de la collaboration, on ne peut tout de même pas se passer de "source authentique" LM: Exemple de Tela Botanica Experts du MHN plus en mesure de maintenir les listes de noms des plantes à jour. 2 logiques: 16 emplois-jeunes qui ne s'en sortent pas / mise à jour par les 4000 participants du réseau (mais liste non officielle) Finalement, une liste plus crédible pour Tela Botanica, et bataille juridique. c'est un système globalement efficace, et les données sont régulièrement finalement estampillée par la légitimité "chercheurs" (mais parfois obsolètes). Et les deux logiques se confondent finalement: les chercheurs enrichissent les données de réseau Tela Voir comment on peut les faire coopérer, les faire converger. - Rapport d'étonnement + des pistes de mise en oeuvre question d'outil collaboratif entre les différentes structures Contraintes/opportunités: dissocier les tâches dans differentes structures. Il y a 10 ans, on ne parlait pas de ces logiques donc il y a une évolution ! **Les points qui frottent / pierres d'achoppement" ** Est-il normal (éthique ?) que les entreprises privées fassent du beurre avec les données libres ? Est ce vraiment vrai que les biens communs provoquent de l'éfficience ? Implication des gens? Les acteurs publics doivent ils tirer profit des biens communs pour une meillere gouvernance ? La question qui reste c'est la question de la plateforme ? HB : dans pouvoirs publics Rw : le problème c'est la question du pouvoir... HB : problème de la vie privée par exemple sur les données nitrate... HB : problème du croisement des fichiers et bases de données différentes HB : question de la hierarchie / le directeur du service n'est pas tjrs d'acord que les personnes de son service collaborent avec d'autres services HB : la compatibilité des données.... pas du tout interopérable même quand l'envie de collaborer est là HB la question des source authentique... garantie que tel service est le garant HB : gratuité... dans un monde de restrictions budgétaires HB : si vous mettez ces données gratuites, au niveau éthique... - la banque d'adresses = on la donne au privé qui inonde les boites de pub HB : du point de vue politique/// quand on est confronté aux structures adminstratifs... on est à mille lieux de la coopération (voir le cas de la "note verte") .. HB on est vraiment loin des pratiques coopératives actuelement en Wallonie... on est dans une logique de "culte du chef" - Argumentaire - il y a une tendance lourde de libérer les données publiques - il y a bcq de personnes prêtes à créer du contenu (voir OMS) et de le faire de qualité - La mutualisation des données récoltées ont permis de se rendre compte que les données étaient déjà présentes ... du coup efficience ! sans mettre plus de sous=> plus de données !!!! génial - les données publiques sont là... en libérant celles-ci on incite les entreprises à créer des services et d'apport de la valeur ajoutée à ces données brutes.... voir par exemple les services de covoiturage né en bretagne - on peut avoir de la qualité... ex : la carte officielle de géobretagne c'est OSM... et c'est l'ETAT - on remplace la rente par le service - il existe des licences pour faire ça sans souci ! -Moyen pour le financeur de se rendre compte de l'innovation: Licences de Biens Communs pour rendre visible et libérer, valoriser les créations. Cela donnera une idée de la production, et permettra de mieux distirbuer . On libère les données mais vous devez faire mieux ! *******************Attention******************* -----Ici commence une prise de note parallèle, il faudra faire des copier coller + haut le cas échéant mais là je suis trop crevée--------- - IGN en france n'a pas voulu filer ses données... - les données brutes n'ont pas vraiment de valeur... le coût de leur vente (facure et autre) ne couvre pas le coût - role du politique : "obliger" à l'utilisation des Lic CC pour éviter de financer 2 fois la meme chose - la proposer dans le secteur associatif permet aussi de faciliter son implémentation dans l'administration - Prob de la vente / voir avec logiciel libre bcq de gens font de l'argent avec des trucs gratuits voir vente de service autour des logiciels libres... Plus c'est rare, plus ça a de la valeur (avant) maintenant plus on est nombreux plus ça a de la valeur Tout n'est pas à partager... par exemple les adresses postales... pas génial, il faut plut^t travailler sur les donnes qui permettent de génrer plutot du bien commun.... la coopération est efficace / voir son utilisation dans l'entreprise voir exemple Sesamath... à 5 ils font mieux que tout ce qui a été payé par le pubic et ce sans un sous public voir telabotanica /
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