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Animer un groupe de travail, à l'échelle de la Belgique francophone, sur l'éducation nature dehors.
La réunion constitutive de ce groupe est fixée au 21 juin 2012.
Objet :
L'objet de ce groupe de travail est opérationnel : il s'agira de mettre en place des actions concrètes.
Rien de plus n'est défini pour l'instant, l'idée étant justement de le définir ensemble.
Public concerné :
Toute personne intéressée par le thème, en particulier celles qui ont un lien (professionnel ou bénévole) avec des pratiques éducatives.
Résultats attendus :
Sur la finalité : faire progresser les pratiques d'éducation à la nature vers davantage de contact direct avec le réel.
Sur le fonctionnement du groupe : progresser collectivement dans des pratiques coopératives, qui pourront ensuite essaimer dans les contextes respectifs des membres du groupe.
Éléments favorables déjà identifiés :
Un intérêt marqué pour la thématique, de la part de représentants de structures variées (centres d'éducation nature et notamment autres CRIE, mouvements de jeunesse, responsables scolaires, associations culturelles ou scientifiques...).
Au 31 mars 2012, 20 personnes ont souhaité participer au groupe.
Un intérêt de la part de certains membres du groupe (particulièrement les autres animateurs des différents CRIE) pour les outils de production collective (google docs), déjà ponctuellement utilisés dans le réseau des CRIE.
Freins déjà identifiés :
Le temps que les participants pourront consacrer aux travaux du groupe.
Le manque d'habitude, pour la majorité des participants au groupe (moi compris), de la réalité du travail en coopération, et de ses spécificités.
La taille du groupe, qu'il serait bon que j'élargisse pour arriver à un nombre suffisant d'actifs.
Méthodes collaboratives imaginées :
Pour le démarrage du groupe (juin 2012), choix collectif des orientations : quoi, pourquoi, comment.
Pour le reste, je ne suis pas très assuré quant à la méthode d'animation du groupe et à mon positionnement par rapport aux autres participants : je ne souhaite pas être le moteur unique du groupe, tout en désirant qu'il fonctionne au mieux.
J'attends donc notamment de la formation qu'elle m'aide à clarifier et affiner ma position.
Outils envisagés :
En termes d'utilisation d'outils de travail à distance, le niveau des participants est très variable.
Il s'agira donc de procéder par étapes, sans brusquer et en proposant des "itinéraires bis" (pour que si une personne considère l'outil proposé trop compliqué à appréhender, elle puisse contribuer d'une autre manière).
Les outils déjà utilisés sont le mail (bien sûr), le sondage (pour fixer la date de la 1e réunion) et le document partagé en ligne (pour l'OJ de cette réunion).
Un des suivants pourrait être la visioconférence, mais je crains que la taille du groupe ne rende le processus un peu difficile.
Pour la suite, j'attends de progresser dans la formation coop-tic afin de choisir les outils les plus adaptés.
Autres éléments que vous jugez utiles :
1. Un groupe travaillant cette thématique existe déjà en France depuis quelques années (le groupe Sortir, émanation du Réseau Ecole & Nature). L'idée est de réutiliser leurs travaux quand cela est pertinent pour la Belgique, de les prolonger et d'établir des passerelles entre leurs avancées et les nôtres.
2. Le point de départ du groupe de travail belge date de novembre 2011. A cette date, 2 centres d'éducation nature belges (dont le CRIE de Mouscron) ont organisé une formation avec Louis Espinassous, qui nous a invités à participer aux travaux du groupe Sortir français. Une animatrice du CRIE du Fourneau St Michel a alors émis l'idée de créer un groupe en Belgique francophone.
Mon projet
Présentation synthétique :Animer un groupe de travail, à l'échelle de la Belgique francophone, sur l'éducation nature dehors.
La réunion constitutive de ce groupe est fixée au 21 juin 2012.
Objet :
L'objet de ce groupe de travail est opérationnel : il s'agira de mettre en place des actions concrètes.
Rien de plus n'est défini pour l'instant, l'idée étant justement de le définir ensemble.
Public concerné :
Toute personne intéressée par le thème, en particulier celles qui ont un lien (professionnel ou bénévole) avec des pratiques éducatives.
Résultats attendus :
Sur la finalité : faire progresser les pratiques d'éducation à la nature vers davantage de contact direct avec le réel.
Sur le fonctionnement du groupe : progresser collectivement dans des pratiques coopératives, qui pourront ensuite essaimer dans les contextes respectifs des membres du groupe.
Éléments favorables déjà identifiés :
Un intérêt marqué pour la thématique, de la part de représentants de structures variées (centres d'éducation nature et notamment autres CRIE, mouvements de jeunesse, responsables scolaires, associations culturelles ou scientifiques...).
Au 31 mars 2012, 20 personnes ont souhaité participer au groupe.
Un intérêt de la part de certains membres du groupe (particulièrement les autres animateurs des différents CRIE) pour les outils de production collective (google docs), déjà ponctuellement utilisés dans le réseau des CRIE.
Freins déjà identifiés :
Le temps que les participants pourront consacrer aux travaux du groupe.
Le manque d'habitude, pour la majorité des participants au groupe (moi compris), de la réalité du travail en coopération, et de ses spécificités.
La taille du groupe, qu'il serait bon que j'élargisse pour arriver à un nombre suffisant d'actifs.
Méthodes collaboratives imaginées :
Pour le démarrage du groupe (juin 2012), choix collectif des orientations : quoi, pourquoi, comment.
Pour le reste, je ne suis pas très assuré quant à la méthode d'animation du groupe et à mon positionnement par rapport aux autres participants : je ne souhaite pas être le moteur unique du groupe, tout en désirant qu'il fonctionne au mieux.
J'attends donc notamment de la formation qu'elle m'aide à clarifier et affiner ma position.
Outils envisagés :
En termes d'utilisation d'outils de travail à distance, le niveau des participants est très variable.
Il s'agira donc de procéder par étapes, sans brusquer et en proposant des "itinéraires bis" (pour que si une personne considère l'outil proposé trop compliqué à appréhender, elle puisse contribuer d'une autre manière).
Les outils déjà utilisés sont le mail (bien sûr), le sondage (pour fixer la date de la 1e réunion) et le document partagé en ligne (pour l'OJ de cette réunion).
Un des suivants pourrait être la visioconférence, mais je crains que la taille du groupe ne rende le processus un peu difficile.
Pour la suite, j'attends de progresser dans la formation coop-tic afin de choisir les outils les plus adaptés.
Autres éléments que vous jugez utiles :
1. Un groupe travaillant cette thématique existe déjà en France depuis quelques années (le groupe Sortir, émanation du Réseau Ecole & Nature). L'idée est de réutiliser leurs travaux quand cela est pertinent pour la Belgique, de les prolonger et d'établir des passerelles entre leurs avancées et les nôtres.
2. Le point de départ du groupe de travail belge date de novembre 2011. A cette date, 2 centres d'éducation nature belges (dont le CRIE de Mouscron) ont organisé une formation avec Louis Espinassous, qui nous a invités à participer aux travaux du groupe Sortir français. Une animatrice du CRIE du Fourneau St Michel a alors émis l'idée de créer un groupe en Belgique francophone.
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